La marine australienne va-t-elle adopter un « plan B » pour se procurer des sous-marins nucléaires d’attaque ?

En 2016, l’Australie annonça que le français Naval Group [DCNS, à l’époque] avait été retenu pour fournir douze sous-marins à propulsion classique Shortfin Barracuda Block 1A à la Royal Australian Navy [RAN], à l’issue d’un appel d’offres alors évalué à plus de 34 milliards d’euros sur cinquante ans. Puis Canberra signa un partenariat stratégique avec Paris afin de consolider ce contrat.

Mais ce choix fut ensuite attaqué [c’est le mot] par des groupes d’intérêt, aidés en cela par quelques médias influents. Dénonçant des coûts « exhorbitants », l’un d’eux avait défendu l’idée d’un « plan B » reposant sur une solution « intérimaire » passant par l’achat de nouveaux sous-marins autres que français avant de doter la RAN de sous-marins nucléaires d’attaque [SNA].

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